jeudi 31 décembre 2009

MERCI MARTINE !

Bonjour,
.
En parcourant la presse j'ai découvert la chronique de François d'Orcival dans le Figaro


Comment ne pas se mettre en colère lorsque nous lisons ces chiffres tellement édifiants.

Comment ne pas penser aux policiers, infirmières, hospitaliers et autres qui se « décarcassent » pour notre bien être quotidien. C'est révoltant car c'est mettre en péril tout un monde. Car combien parmi ces gens ne peuvent, pour raison de service, obtenir simplement leur dû. La France se relèvera-t-elle un jour de cette énorme erreur.

La chronique de François d'Orcival membre de l'Institut.

« Quand elle était ministre, on l'appelait la « mère-emptoire ». Martine Aubry venait de généraliser les 35 heures par la loi. Le vote final était intervenu le 15 décembre pour permettre au texte d'entrer en vigueur le 1er janvier. C'était il y a dix ans. En pleine mondialisation triomphante, la gauche invitait les Français à croire au Père Noël - travailler moins que les autres tout en gagnant autant qu'avant. Tandis que l'Allemagne concentrait son énergie à réduire ses coûts de production, la France consommait la sienne à réduire son temps de travail, au mépris des déficits, de la croissance - et de la crise !

Le coût des 35 heures était connu dès le vote de la loi. Le syndicat Force ouvrière des fonctionnaires l'avait chiffré pour le secteur privé (lire La Dame des 35 heures, de Philippe Alexandre et Béatrix de L'Aulnoit, Robert Laffont) : cela devait représenter une charge de 4,5 milliards d'euros en 2000, de 11,5 milliards en 2001, de 16,7 milliards en 2002, et ainsi de suite. Nous en sommes à près de 20 milliards d'aides aux entreprises pour le passage aux 35 heures. Un cadeau que les fonctionnaires n'allaient pas laisser aux salariés du privé. Toutes catégories confondues, ils réclamaient leurs RTT. «On fera les 35 heures dans la fonction publique sans embauche», avait fait croire Lionel Jospin. La blague ! La Cour des comptes publie les chiffres : entre 2000 et 2007, les rémunérations de la fonction publique se sont accrues de 61 milliards d'euros en monnaie constante (227 milliards en 2000, 288 en 2007), soit une hausse de 27 % ! Plus que notre déficit annuel avant crise, près de l'équivalent de nos crédits d'enseignement... On se rappelle le désastre que fut l'application des 35 heures aux hôpitaux. Autre exemple, il a fallu recruter 8 000 policiers et gendarmes pour compenser les absences des personnels auxquels on avait accordé 15 jours de RTT (gendarmes) ou 24 (policiers).

Depuis deux ans, le gouvernement cherche à corriger ces excès en faisant entrer la productivité dans la fonction publique : réforme de la carte judiciaire, militaire, hospitalière, baisse des effectifs dans la police et la gendarmerie, etc. Il a aussi libéré les heures supplémentaires en les majorant et en les exonérant. Ainsi, les 35 heures se paient-elles deux fois : en compensation du travail en moins, en exonération du travail en plus. Total des allègements de charges supportés par la collectivité : 30 milliards en 2008. Presque autant que le « grand emprunt ». Merci Martine. »

Bonnes fêtes et gare aux excès.

Jean Félix Brouet



lundi 28 décembre 2009

ISABELLE CHESA : A LA TRAPPE?

Les grandes manoeuvres d'arrière cuisine ont commencé...et le peuple dans tout ça?


L'Ump pourrait bien passer l'élue sortante à la trappe et la laisser sans mandat.
"Raymond Couderc est le monsieur pluie et beau temps de l'UMP ces derniers temps. Du coup, le maire de Béziers se la joue « cinéma muet », genre rétro et sans voix. Sauf que la liste audoise pour les régionales que Xavier Bertrand arbitrera fin janvier se profile. Et qu'Isabelle Chesa pourrait bien ne pas en être, en tout cas, dans une position éligible. « Mlle Fille », comme elle est désormais surnommée à Carcassonne, n'est plus en odeur de sainteté dans les fiefs de feu son père, Raymond. Et la deuxième place de la liste de la « majorité présidentielle » devrait revenir à Solange Millet, épouse de l'ancien directeur général des services de la mairie de Narbonne sous le « règne » de Michel Moynier et, avant lui, d'Hubert Mouly. Michel Py, numéro un dans tous les cas, est chargé de la monter, cette liste, mais il n'est pas plus bavard que l'édile héraultais. Dans son entourage, hier, l'on a pu apprendre que Xavier Bertrand, grand patron du parti, pourrait proposer la quatrième place à Aude Vaissière, jeune sortante de l'équipe municipale de Gérard Larrat. Et la troisième masculine position ? Eh bien Gilles Icher est sur les rangs, mais Emmanuel Bresson aussi. Et le jeune maire de Belcaire pourrait bien rafler la mise sur une place éligible au Carcassonnais qui, comme Isabelle Chesa, est taxé d'avoir « trahi la cause » lors des municipales. Tout cela renverrait en fond de liste les pontes carcassonnais, à l'exclusion d'Aude Vaissière. Isabelle Chesa, contactée hier par téléphone semble irritée de la situation. « Je ne sais rien, je ne suis informée de rien. Il faut voir avec Michel Py », répond-elle.

Manifestement, à l'UMP, personne ne sait rien. Et ceux qui savent sont taisant. Le fait est que l'échec des dernières municipales laisse des traces. Les militants qui, à 80 % ne veulent plus entendre parler d'Isabelle Chesa, ne veulent pas, pour autant, être lésés et sous représentés. Ils aimeraient, forcément, avoir des « leurs » dans les positions éligibles et surtout rentrer en campagne. Qui, de Gilles Icher ou d'Emmanuel Bresson, atypique élu de Haute Vallée, remportera la mise ? Il semblerait que le second ait le vent en poupe, bien que le premier sente le vent tourner en sa faveur... Bref. Seuls, les grands muets de l'histoire, à savoir Michel Py et Raymond Couderc, détiennent la finalité. Mais il est prévisible qu'Isabelle Chesa se voit proposer un strapontin plutôt qu'un siège. Une quatrième place, voire une vraisemblable sixième lui sera proposée. « Normal. Xavier Bertrand a en travers son comportement lors de sa venue dans l'Aude. On aurait du mal à l'imposer », indique un cadre de l'UMP."

Journal La Dépêche du Midi, édition du 23 décembre 2009.

Quand je vous depuis de nombreuses années que c'est "Dallas" en moins bien.

Jean Félix Brouet

jeudi 24 décembre 2009

JOYEUX NOEL A TOUS

TOUTE L'EQUIPE DES AMIS DE L'HORLOGE VOUS SOUHAITE UN



avec plein de bonheur pour vous et vos proches.



vendredi 18 décembre 2009

SOCIALISTES, VOUS AVEZ DIT SOCIALISTES

Un ami fonctionnaire m'a téléphoné ce matin pour me dire sa colère et sa stupéfaction.(sa famille est productrice dans la région)


En effet il a reçu, comme nombre de ses collègues, et c'est très bien, un colis de Noël offert par les œuvres sociales. Ce panier, somptueux au demeurant, ne contenait aucun produit local.

Hormis le fait qu'il a bien fallut acheminer ces produits des régions de production, merci pour la contribution carbone (transport et autre), il faut bien reconnaître que c'est du grand n'importe quoi.

Ce qui suit est édifiant:

D'après ce que je sais les vins seraient de Bordeaux, il y a même une bouteille de champagne et les charcuteries proviendraient du Périgord ou d'autres régions de France.

Peut-être ne savez-vous pas que nous avons à quelques encâblures de Castelnaudary d'excellents produits façonnés avec amour et passion par des producteurs locaux, vous auriez pu simplement faire en sorte que ces produits-là soient choisis. Une bonne bouteille de Blanquette aurait été une forme de soutien à nos vignerons en difficulté, sans parler des vins extraordinaires de l'Aude qui valent largement certains Bordeaux à des prix plus qu'abordables.

On se moque d'eux et de leur travail et le seul message à retenir est le suivant « produisez, faîtes vivre nos campagnes, payez vos impôts, nous n'achèterons pas chez vous», merci pour eux.

Vous auriez pu, vous auriez dû mais rien de tout cela!!!

Joyeux Noël quand même.

Jean Félix Brouet

jeudi 10 décembre 2009

5 % EN PLUS CHAQUE ANNEE EN MOYENNE.

Bonjour

La taxe foncière sur les propriétés bâties progresse de 5% par an en euros constants.

En dix ans, son produit est passé de 12 à plus de 20 milliards d’euros et même 25 milliards d’euros si l’on y adjoint la, TEOM, Taxe d’Enlèvement des Ordures Ménagères), à rapprocher des 28.4 milliards d’euros de taxe professionnelle produits en 2008.
Cette évolution s’explique par l’effet combiné du dynamisme des bases imposables et de l’accroissement des taux d’imposition, avec un taux moyen 2008 de 30.23% pour le foncier bâti et de 8.75% pour la TEOM, soit de l’ordre de 39% au total.

Si les locaux à usage d’habitation constituent bien sûr l’essentiel de l’assiette de la taxe sur le foncier bâti, à laquelle les ménages contribuent à 70%, les locaux professionnels (commerciaux et industriels) ne représentent que 3.4 millions (soit 7%) des 47 millions de locaux cadastrés recensés, mais près de 30% des 138 milliards d’euros de valeurs locatives imposables.

Parmi les charges d’exploitation figure au côté des loyers, le coût fiscal, principalement constitué de la taxe foncière, voire de la taxe sur les bureaux, locaux commerciaux et de stockage en région Ile-de-France, toutes deux dues par le propriétaire de l’immeuble au 1er janvier et refacturées au locataire le cas échéant. Si le loyer représente l’essentiel du coût d’occupation, les impôts et taxes liés à l’immeuble constituent entre 5 et 10% de ce coût.

Très disparates selon la localisation géographique, ces taux d’imposition ne donnent qu’une indication très relative du coût fiscal local d’occupation, le coût de taxe foncière dépendant pour l’essentiel de la valeur locative du bâtiment, à laquelle est appliqué le taux d’imposition.
Cette valeur locative, dite cadastrale, déterminée pour chaque propriété ou fraction de propriété destinée à une utilisation distincte, diffère selon la nature des locaux. Calculée à partir des valeurs comptables de s terrains, constructions et aménagements à leur date d’entrée au bilan du propriétaire, pour les établissements industriels, elle résulte essentiellement, pour les autres locaux professionnels, de la comparaison avec celle de locaux-types.
Cette dernière, aussi appelée ‘’tarif d’évaluation’’, est déterminée par unité de surface pondérée sur la base de loyers constatés en 1970 par catégorie d’immeuble, ainsi que par secteur de commune. Par ailleurs, des ajustements lui sont appliqués pour tenir compte des différences qui peuvent exister entre le local-type et l’immeuble à évaluer, notamment du pont de vie de la situation, de la nature de la construction, de son état d’entretien ou de son aménagement.

Parmi les coûts qui constituent le poste immobilier, le coût fiscal est sans doute le moins connu et le plus subi, la seule donnée comparative disponible étant le taux local d’imposition ou le taux moyen national.

Jean Félix Brouet
Sources: Alma Consulting Group

mercredi 9 décembre 2009

ELECTIONS REGIONALES

Bonjour,




LES ELECTIONS REGIONALES AURONT LIEU LES 14 ET 21 MARS 2010.
POUR VOTER, PENSEZ A VOUS INSCRIRE AUPRES DE LA MAIRIE DE VOTRE DOMICILE, AVANT LE 31 DECEMBRE 2009.

Au mois de mars 2010 auront lieu les élections régionales. Elles ont pour objet d'élire les conseillers régionaux qui siègent à l'assemblée délibérante de la région, le conseil régional.
Celui-ci est, notamment, compétent pour promouvoir le développement économique, social, sanitaire, culturel et scientifique de la région et l'aménagement du territoire. Les conseillers régionaux sont élus au suffrage universel direct. Pour participer aux élections régionales, il faut être inscrit sur une liste électorale. Cette inscription permet en outre de recevoir sa carte d'électeur, sur laquelle figure l'adresse de son bureau de vote. Si vous n'êtes pas inscrit ou si vous avez déménagé dans l'année, vous aurez jusqu'au 31 décembre 2009 pour vous inscrire sur les listes électorales dans votre mairie.


Comment s'inscrire ? Se rendre dans votre mairie en vous munissant : d'une pièce d'identité en cours de validité (carte d'identité ou passeport), et d'un document prouvant votre domiciliation dans la commune (factures de téléphone fixe ou d'électricité, avis d'imposition, quittance de loyer). Il est également possible de s'inscrire par courrier, en adressant à la mairie de sa commune le formulaire agréé, disponible sur les sites du ministère de l'Intérieur, de l'Outre-mer et des Collectivités territoriales (www.interieur.gouv.fr) et de la préfecture (www.aude.-pref.gouv.fr) Le formulaire doit être accompagné impérativement des pièces justificatives et transmis à la mairie, avant le 31 décembre 2009. 
 
Jean Félix Brouet

lundi 7 décembre 2009

DOIT-ON CONTINUER AINSI ?

Bonjour

Depuis 2004, vingt des vingt deux régions métropolitaines sont gérées par des présidents socialistes. A quelques mois des élections régionales, l'heure du bilan est venue. Lors des précédentes éditions du Livre Noir, nous avions observé un certain nombre de caractéristiques de la gestion "socialiste" des régions. Cette méthode se résume de la façon suivante : explosion des impôts, multiplication des dépenses de fonctionnement et de communication, ainsi qu'un saupoudrage massif des subventions aux associations.


Au fil des années, nous avons constaté qu'au-delà des dérives budgétaires et de la mauvaise gestion, un véritable programme d'instrumentalisation des exécutifs régionaux a été mis en place. Désormais, la politique des régions se décide rue de Solférino avec pour unique ambition de s'ériger en contre-pouvoir à la politique gouvernementale.

L'augmentation généralisée des impôts régionaux. Les présidents socialistes ont conduit les régions sur une bien mauvaise pente. Depuis 2004, les impôts régionaux ont augmenté de 34 % pour la taxe sur le foncier bâti (91 % en Languedoc-Roussillon) ; de 33 % pour la taxe sur les cartes grises ; et de 54 % pour la taxe professionnelle (90 % en Languedoc-Roussillon) sur l'ensemble du territoire. Ce sont 6,5 milliards d'euros d'impôts régionaux supplémentaires qui sont prélevés chaque année sur les contribuables, ce qui représente 101 euros supplémentaires par Français.

L'explosion des dépenses de fonctionnement et de communication dans les régions socialistes. Ce sont bien les frais de fonctionnement, les dépenses de communication, de représentation et les nombreuses interventions hors compétence qui ont fait exploser les budgets régionaux. Entre 2004 et 2009, les dépenses de fonctionnement des régions françaises ont explosé de 85 %, alors que sur la même périodeles investissements ne progressent que de 32 %. Parmi ces dépenses, ce sont bien les frais de personnel qui ont le plus fortement augmenté (+410%) et ce, bien avant les transferts liés à la décentralisation. Les charges à caractère général qui intègrent notamment les dépenses de communication ont été multipliées par 4 depuis le début de la mandature en 2004.

En effet, ces dépenses lourdes auxquelles on peut ajouter l'échec des coûteux emplois tremplin, n'ont qu'un seul but : créer de véritables contre-pouvoirs au gouvernement. En parallèle, alors que les efforts en faveur de l'investissement et les plans de soutien à l'économie sont dérisoires, l'endettement des régions françaises a augmenté de 38 % entre 2004 et 2009.

La recherche systématique d'un bouc émissaire : l'Etat et la décentralisation.
Contrairement à ce qu'affirment les présidents socialistes, ce ne sont pas les nouvelles compétences transférées qui viennent peser sur les budgets régionaux. Derrière les augmentations massives de la fiscalité, des dépenses de fonctionnement et de communication se cachent la volonté de se servir des régions comme d'un contre-pouvoir. Cette instrumentalisation des régions par le Parti socialiste s'est faite au détriment des ménages et des entreprises qui depuis 2004, paient de nouveaux impôts. Et ce, bien avant que les transferts liés à la décentralisation aient des effets sur les budgets régionaux.

Au final, les régions françaises ont augmenté massivement les impôts (et le Languedoc-Roussillon plus que toutes les autres) ; elles sont plus endettées et investissement moins pour l'emploi, l'éducation et les transports.
 
Jean Félix Brouet
(source Internet)

dimanche 6 décembre 2009

TELS DE GENTILS BLAIREAUX...

Bonjour

Je tiens à souligner qu'en 2010 l'effort financier de l'État en faveur des collectivités sera de 78,2 milliards d'€, soit 3,5 % de hausse. Avec le transfert de fiscalité, on atteint 97 milliards.

Si à cela vous ajoutez les revenus directs, nous voyons bien que tout le bruit fait par la Gauche n'a pour seul et unique but que d'enfumer le bon peuple afin que celui-ci continue de voter pour elle.

Ainsi elle ( la Gauche ) assure son train de vie surtout dans notre région.


Vous avez dit "crise" rassurez-vous pas pour tout le monde.

Bon dimanche.

Jean Félix Brouet

vendredi 4 décembre 2009

TAXE PROFESSIONNELLE !

Bonjour,

Ainsi les socialistes ne pourront plus se cacher derrière et crier qu'ils sont obligés d'augmenter les impôts. D'autant que cette année, contrairement à ce qu'ils laissent croire la dite taxe sera versée en son intégralité.

Ils sont donc contraints de trouver autre chose.

Lu dans LES ECHOS.


Les parlementaires ont élaboré, en concertation avec Matignon, un nouveau schéma de financement des collectivités locales. Un peu plus coûteux, celui-ci assure un surcroît de recettes à celles qui attireront de nouvelles entreprises.

Après plusieurs semaines de flottement, le dossier de la taxe professionnelle semble en passe d'être débloqué. Une réunion a eu lieu, lundi matin, entre François Fillon et les représentants de la commission des Finances du Sénat, pour dégager les conditions d'un accord avec les élus locaux, inquiets de voir la taxe professionnelle remplacée par un bouquet d'impôts et de dotations totalement renouvelé. Présenté en commission des Finances ce matin, ce schéma sera débattu en séance publique samedi. Il a été élaboré en concertation avec Gilles Carrez, rapporteur du budget à l'Assemblée, ce qui devrait faciliter l'ultime débat en commission mixte paritaire (7 sénateurs et 7 députés).

La suite en cliquant sur le lien ci-dessous.

http://www.lesechos.fr/info/france/020247474594-taxe-professionnelle-fillon-trouve-un-accord-avec-les-senateurs.htm

Bien sûr on aurait pu faire autrement "Réfléchir avant et annoncer après".

Bonne journée.

Jean Félix Brouet

jeudi 3 décembre 2009

22 ème sur 22.

Bonjour

ALLONS NOUS CONTINUER LONGTEMPS AINSI ?

LA REGION LANGUEDOC ROUSSILLON EST 22ème sur 22. Bravo.

Merci donc à Monsieur Le président de la Région Languedoc Roussillon. Merci Monsieur le donneur de leçons. Nous voyons où nous mène votre brillante politique, c'est en réalité une catastrophe.

Toujours plus d'impôts pour toujours moins de résultat. Au final 470 000 Languedociens et Roussillonnais vivent sous le seuil de pauvreté.

C'est le triste bilan de l'actuelle majorité de Gauche à la tête du Conseil régional qui tire nos cinq départements vers le bas


Sans commentaires.

Allez bonne journée et n'oubliez pas bientôt les élections régionales. Nous en reparlerons.

Jean Félix Brouet